« C’est ainsi que les hommes vivent », une analyse complète du roman

C’est ainsi que les hommes vivent de pierre pelotC’est ainsi que les hommes vivent de pierre pelot

Amis amateurs de grande littérature, le moment est maintenant venu pour vous de découvrir – si vous ne le connaissez pas encore – l’un des plus grands ouvrages de Pierre Pelot. C’est ainsi que les hommes vivent, est très certainement l’un des romans les plus réussis de l’artiste, et vous allez vite comprendre pourquoi en lisant cette rapide analyse…

Le résumé de l’ouvrage

Dans C’est ainsi que les hommes vivent, vous suivez en parallèle deux récits qui se recoupent. En 1999, Lazarre Grosdesmange, voyageur et journaliste, retourne dans les Vosges pour enterrer sa mère. Ayant perdu la mémoire dans des circonstances troublantes, son histoire se rapprochera peu à peu de celle de notre second protagoniste.

Dolat est né au XVII siècle, juste avant que sa mère ne soit brûlée vive pour des actes supposés de sorcellerie. Adopté par Apolline dont il tombera amoureux, il évoluera de page en page au milieu des horreurs de la guerre de Trente-ans, ses tortures, ses pillages, ses massacres, ses viols…

Vous vous en doutez, les deux histoires se rapprocheront graduellement, levant ainsi le voile sur les vraies intentions de Pelot dans la composition de cet ouvrage.

Ce qu’en pense la critique

Un véritable chef-d’œuvre difficile à aborder : c’est ce que la plupart des critiques (aussi bien dans la presse que les lecteurs eux-mêmes) ont pu dire de C’est ainsi que les hommes vivent.

Pour nous raconter les péripéties de Dolat et nous immerger au plus haut point dans cette période lointaine de l’histoire, Pierre Pelot a en effet mêlé à la finesse de sa plume des termes venus du patois vosgien et de l’ancien françois… Autant dire que certaines parties du roman restent donc relativement opaques, même pour les lecteurs avisés…

Autre élément ayant également marqué les critiques : la noirceur de C’est ainsi que les hommes vivent est palpable, et il faut avoir le cœur bien accroché pour survivre à 180 pages de description plutôt morbides de viols, meurtres, buchers, pillages, etc. Cet ouvrage n’en demeure pour autant pas moins un grand chef-d’œuvre de Pelot !

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